Bonjour,

Je suis Ryu, j'ai débarqué dans le monde de Seconde Life il y a un peu plus de deux ans, depuis j'ai été bluffé par cet univers où je me suis établi maintenant.  Le fait de travailler en tant que journaliste au pcdd est le premier travail sérieux que j'ai eu dans la seconde life jusqu'à maintenant c'est pourquoi je compte bien le garder en vous proposant des articles de bonne qualité (si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à venir m'en parler la critique est toujours constructive). Je suis à votre disposition si vous avez besoin pour parler des articles, des sujets ou pourquoi pas de SL.

Aujourd’hui il nous faut trouver l’équilibre avec notre consommation excessive et la protection de la planète, vraisemblablement le compromis sera de créer et d’utiliser des modes de production qui puissent produire en osmose avec la nature et ainsi préserver notre environnement futur. La prise collective de conscience et l’engagement de chacun dans des énergies dites « renouvelables » (dans un premier temps) permettra de changer l’idéologie de la société de consommateur actuelle.

L’énergie renouvelable, c’est quoi ?

C’est le fait d’avoir une énergie dont la consommation n’aboutit pas à une diminution des ressources naturelles parce qu’elle fait appel à des sources inépuisables par opposition aux énergies fossiles qui épuisent irréversiblement les sous sols de la Terre tout en polluant la faune et la flore en risquant de détruire l’écosystème de certains animaux.

Beaucoup d’entre nous en connaissent. Ainsi il y a l’énergie éolienne qui utilise la force produite par le vent pour créer de l’énergie entre autre. L’énergie éolienne n’est pourtant pas nouvelle souvenez vous des moulins à vents d’antan, seulement aujourd’hui nous pouvons nous servir des éoliennes pour produire de l’électricité (pour faire tourner les machines à laver…). Puis nous avons l’énergie hydraulique qui utilise l’eau pour produire de l’énergie et ainsi que nos ancêtres (les bateaux à voile), nous nous en servons encore aujourd’hui avec les barrages (16% de l’électricité mondiale a été produite en 2004 par l’énergie hydraulique). Enfin la plus connue de tous étant, l’énergie solaire. A l’aide de panneaux solaires, les rayons du soleil vont être captés pour être redistribués sous forme d’énergie qui permettra d’alimenter en chauffage, eau chaude… une borne (de secours par exemple), un véhicule (un bateau), une maison…

Néanmoins, il faut dire que ces alternatives ont un coût, il faut compter entre 600 et 100 000 euros (de l’éolienne domestique à l’éolienne pouvant comblée des besoins industriels), pour les panneaux solaires vous pouvez faire un devis sur ce site www.panneausolaire.tv/prix-panneau-solaire.php. Dans tous les cas, il y a un inconvénient, si l’on peut dire, c’est la présence de la source énergétique, il faut choisir des endroits de préférences bien « ventilés » pour l’énergie éolienne, bien exposés au soleil pour le solaire….

Il faut être franc à l’heure actuelle, vouloir se mettre aux énergies renouvelables c’est un bon choix mais qui peut s’avérer difficile en fonction de la conjoncture actuelle (inflation, perte de pouvoir d’achat…). Malgré les aides gouvernementales, seules les personnes en ayant financièrement les moyens peuvent acquérir ces systèmes, néanmoins il ne faut pas désespérer d’ici quelques années ces énergies renouvelables se seront développées et chacun pourra en bénéficier. N’oublions pas que même si nous ne pouvons investir dans les énergies renouvelables nous pouvons agir à notre échelle par des petits gestes quotidiens tels que le tri sélectif, le compostage… Ces petits choses sans importances, du moins c’est ce que pense beaucoup de gens, ont un impact que ce soit avec l’éco citoyenneté, ou alors sur la facture d’eau ou d’électricité (si vous ne faites pas un geste pour la planète, faites le pour votre portefeuille !).

Car souvenez-vous :

« Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité », Neil Armstrong, 20 juillet 1969.

Ryu Giha

-- L'UE met à disposition des entreprises des outils d'audit pour favoriser l'application de la législation européenne en matière de développement durable : l'exemple de EMAS et LIFE --

Dans un contexte de prise de conscience environnementale et de déséquilibres sociaux, la politique de l'Union Européenne se doit ne de pas passer outre ces enjeux devenus fondamentaux. Le champs d'action des états membres européens s'est ainsi ouvert aux questions du développement durable. Plus qu'une simple adhésion, l'UE a dessiné sur son étendard un ensemble de concepts et mesures visant à protéger les ressources naturelles planétaire, à participer à l'amélioration de la qualité de vie de ses habitants et à soutenir une croissance économique solide et homogène.

Au sein du cadre environnemental, la politique européenne a mis en place, en 1993, la procédure EMAS (Eco-Management and Audit) qui propose aux entreprises européennes un diagnostic pour leur permettre d'optimiser leur production tout en préservant la qualité de vie de leur espace et surtout à respecter la législation européenne sur le développement durable. La mise en place de ce processus valide notamment le respect de la norme ISO 14001, un ensemble de mesures qui garantit à tout type d'organisation (entreprises, associations, coopératives, mutuelles, fondations...) la certification d'un "management environnemental" de qualité. Par cette expression, un tantinet pompeuse, les technocrates européens exigent des entreprises qu'elles réduisent au strict nécessaire leurs émissions polluantes ainsi que toutes formes d'actions qui participent à la création d'externalités négatives (c'est à dire des facteurs extérieurs -environnementaux- qui nuisent à la pérennité d'autres entreprises, ex : la pollution dans les champs). La création de l'EMAS va donc dans le sens de l'application de ces exigences environnementales. Concrètement, cette procédure permet à l'organisme de se doter d'un programme environnemental et productif, et de l'échelonner sur une période de 3 ans maximum. A terme, la structure est censée répondre à l'ensemble des mesures préconisées par l'UE, et en contrepartie de bénéficier d'une qualité de production supérieure. Ce système repose donc sur le principe du donnant-donnant, même si la réalité impose que des restrictions environnementales ne signifient pas toujours une meilleure production (notamment si la concurrence n'a pas fait le choix d'une politique environnementale elle-aussi).

A l'heure actuelle, aucune règle quantitative n'a été fixée pour mesurer avec pertinence le respect des conditions de cette norme. Autrement dit, les éventuelles infractions aux limites imposées par le processus dépend seulement d'une appréciation subjective des agents chargés de le faire respecter. Dans une Union Européenne chaotique et encore très hétérogène, le succès de ces principes environnementaux relèvent du cadre de l'improvisation. Néanmoins, la norme ISO 14001 associée à des outils comme EMAS garantie une amélioration, relative certes mais réelle quand même, du respect des grands principes de développement durable par les entreprises. C'est peu mais c'est déjà beaucoup compte tenu du faible impact de ces nouveaux principes dans les mentalités occidentales, en particulier latines et anglo-saxonnes. La procédure EMAS est également grandement handicapée par la boursouflante bureaucratie européenne. Comme tout dossier de candidature, l’entreprise devra batailler dans un enchevêtrement de services administratifs pour espérer être retenue pour la mise en place du programme. Dans un premier temps, le dossier est examiné par le COFRAC (Comité français d'accréditation) qui valide les lourdeurs administratives exigées par les conditions du programme. Ensuite un acteurs tiers indépendant (d'origine inconnue) valide à son tour le dossier. Celui ci est alors envoyé à l'Assemblée des CCI de France qui avisera alors à son tour son approbation avant que le Comité EMAS confirme définitivement l'acceptation de la structure dans son programme. Si vous vous sentez perdu dans la procédure c'est normal! "Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer".

EMAS : une démarche « prometteuse » mais coûteuse. La mise en place de la procédure EMAS coûte la bagatelle de 3500 à 6000 € pour les entreprises qui disposent déjà d’une certification ISO 14 001 (mais dans ce cas l’intérêt est plus que mineur, et surtout incertain) et 6000 à 9000 € pour les entreprises qui ne la possède pas encore. Pour compenser ce problème de surcoût, l'Union Européenne a construit l'outil LIFE, un instrument financier qui participe à la mise en place de la procédure EMAS en particulier dans les PME/PMI ainsi que dans les pays économiquement modestes. LIFE prend la forme d’un organisme de créance aux entreprises en participent jusqu’à 50 % du financement du projet EMAS. En plus d’un apport de fonds, cet outil a aussi la prétention de créer des réseaux d’entreprises et d’améliorer la visibilité de ces organisations à l’échelle européenne. Evidemment nous nageons ici dans les eaux acides de la politique de séduction.

En se soulageant de quelques grands principes devenus populaires (l'environnement), la Commission Européenne semble pouvoir assurer la gestion environnementale par l'intermédiaire d'une batterie, plus ou moins confuse, d'outils de maintien de la qualité de l'espace. EMAS et son outil de financement LIFE semblent faire parti de ces processus de vitrine, dont la mission première est surtout d’illustrer quelques grands principes moraux sur l'environnement. Si l'objectif de EMAS est réel, son champs d'actions s'avère finalement limité. Depuis sa création en 1993, le processus n'a enregistré que 3 797 candidatures. Une goutte d'eau dans l'océan entrepreneurial européen et un chiffre bien faible compte tenu des larges ambitions de son lancement. A titre d'exemple : seules 24 entreprises en France font partis de EMAS. Les limites de ce succès sont multiples : tout d'abord le manque de visibilité. EMAS puis LIFE par leur relative discrétion. Ces programmes ne sont pas assez connus des chefs d'entreprises et des acteurs publics. L'information est donc mal relayée. Deuxième reproche : le coût injustifié. L'outil LIFE a été conçu pour faciliter le financement du diagnostic mais son plafond n'atteint que 50 %, le reste étant à la charge de la structure. Troisième limite : la lourdeur administrative qui ralentit voir décourage les chefs d’entreprises à prendre le risque de se conformer à ses pseudo-règles. L'utilité d'EMAS est surtout de permettre à ces établissements de se mettre en conformité de la législation européenne, un principe qu'ils prennent souvent en charge eux-même sans connaître l'existence des programmes environnementaux.

Pour en savoir plus :

http://www.environnement.ccip.fr/

http://ec.europa.eu/

LeoMaxx Sautereau

Comme le disait l'un des pères de la démocratie contemporaine, l'individu doit naître libre et égal en droit. C'est sur ce principe, un tantinet égratigné, que je naquis dans les atomes pixélisés de Second Life. Mais dans cette océan aussi vaste que structurellement étriqué, je me rendis bien vite compte que ce monde virtuel était loin de tenir ses promesses quant à ce grand principe. Le noob que j'étais, fut ainsi livré en pâture dans un univers fictif ressemblant terriblement au monde réel qu'il cherche à idéaliser. Il semble que le besoin insatiable de prospérer, au détriment d'autrui, semble une caractéristique fondamentale de l'être humain. Même le plus obstiné des gauchistes aura bien du mal à laisser de côté son égoïsme une fois que ses besoins et sa reconnaissance seront affectés par les difficultés de la vie en communauté. "L'homme est un loup pour l'homme" disait Hobbes. Second Life est la preuve par quatre que l'anarchie et l'utopie d'un monde libre est voué à l'échec et ne peut se construire durablement. La liberté a un arrière goût de fantasme qui ne peut s'obtenir qu'en se déliant de la civilisation, autrement dit, le retour à l'état sauvage..et encore! L'homme, comme l'avatar, a besoin d'être encadré et d'être limité pour ne pas sortir des sentiers de l'équilibre. Le bonheur, qu'il soit dans le monde réel ou dans Second Life, ne peut s'obtenir que par la satisfaction de ce que l'on a et par l'acceptation de compromis. Voilà ce qui pourrait définir, partiellement, ma façon de voir les choses dans notre metavers.

Je suis né un 30 Juillet 2007 sous le nom de LeoMaxx Sautereau. Ne me demandez pas pourquoi j'ai choisi de m'appeler comme ça, je n'en sais rien! Vous pourrez vous foutre de moi en me disant que j'ai un nom qui ressemble à une marque de Coca sans sucres, ça m'est égal. J'ai toujours assumé mon avatar et notamment le fait qu'il soit les rares actuels descendants d'Adam à défendre sa pilosité de mâle viril dans un monde où la virilité semble rangée dans un placard poussiéreux au profit d'une androgynie physique et morale! Je suis de la vieille école: gentleman et un peu macho. Heureusement pour moi, une partie de la gente féminine est encore nostalgique de cette espèce en voie de disparition . En dehors de ma pilosité légendaire, j'ai un très gros problème pour choisir mes paires de chaussures, j'ai d'ailleurs passé trois mois à porter des gros croquenots noirs à en faire pleurer les clowns du Cirque Pinder qui jouent ce week end dans mon village rl. Plus sérieusement, je fais parti de ses joueurs qui estiment que notre avatar est un prolongement de notre personnalité. En clair, je n'essaie pas de jouer un rôle. Je prends Second Life comme une opportunité de laisser exprimer ma vraie personnalité, celle que j'aimerais exploiter davantage dans ma vraie vie. Cela m'a permis d'apprendre quelques trucs sur moi même. Mais en dehors de l'auto psychanalyse, je prends ce monde virtuel comme un divertissement et une façon de rencontrer des personnes enrichissantes, sans l'obstacle des préjugés. Au premier abord, je peux paraître quelqu'un d'assez froid et distant mais après je suis plutôt jovial et chaleureux. Il me faut un peu de temps pour faire confiance.

Professionnellement j'ai axé ma vie de Second Life sur le journalisme. Le monde du travail a commencé par une vocation (ratée) de vendeur de meubles mais j'ai très vite saisi l'opportunité d'intégrer le célèbre journal francophone le S-En-Ciel dans lequel je suis resté 4 mois jusqu'à son annulation (je n’y suis pour rien je vous rassure lol). J'ai alors suivi sa dernière rédactrice en chef pour participer à un nouveau journal « libre » et « critique » intitulé le Citizen Prim. Début Mars, j'ai décidé de démissionner de mon poste de rédacteur en chef pour différents professionnels avec le dirigeant. Dorénavant j'ai pour ambition de créer mon propre journal toujours dans un style libre, critique mais cette fois totalement indépendant d'intérêts de sims. En parallèle, je participe à des projets indépendants comme le Palais de Congrès du Développement Durable car c'est un sujet que je maîtrise assez bien. J'aimerais pouvoir apporter quelques éléments dans le cadre de mes savoirs . Mes interventions sur ce sujet seront essentiellement puisées dans le domaine de l’économie et du politique. Je mettrais tout en œuvre pour ce que ce ne soit pas barbant !

LeoMaxx Sautereau

Malgré tous les efforts investis dans le développement durable, on est encore au stade des prémices. Néanmoins l’épuisement des sources d’énergies fossiles permettra un revirement de situation car nous devons nous tourner vers un avenir de pénurie dont nous préparons les solutions aujourd’hui. Ainsi les nouvelles technologies essayent de tenir compte au maximum de ces critères en élaborant des énergies, des moyens de transports qui assurerai un développement durable.

Ryu Giha

Sources:
www.science-et-vie.net pour la photo de la terre
www.artisanat.fr pour le schéma sur le dévelloppement durable
www.neb.gc.ca pour la consommation et la production de pétrole dans le monde
www.viessmann-proactif.com pour le schéma des 10 plus importants pollueurs de la planéte

www.ledeveloppementdurable.fr/
www.environnement.gouv.fr/-Developpement-durable
www.developpement-durable.net

Carrefour est sponsorisé par WWF et Surfrider Foundation Europe pour son engagement sur le développement durable.

Cette année 2008 est prométeuse!

http://www.carrefour.fr/etmoi/developpement_durable/

http://www.carrefour.fr/etmoi/developpement_durable/avec_wwf/578-article-carrefour-et-le-wwf.htm

http://www.carrefour.fr/etmoi/developpement_durable/avec_vous/584-article-experts.htm

Le blog de Serge Baillargeon est une réflexion et des conseils pour vivre en harmonie avec notre planète:

http://www.economiesolidaire.com/

Très belles photos et bien écrit.

Voici un outil qui ne manquera de nous rappeler que nous pouvons aller plus loin dans nos efforts pour l'environement.

A réaliser absolument!

http://www.bilancarbonepersonnel.org/index.php5?ty pe_page=generique&page=accueil

Voici a première association référencée sur le PCDD:

http://www.goodplanet.org/

GoodPlanet.org présidée par Yann Arthus-Bertrand fait la promotion du développement durable à destination des enfants.

Site à voir absolument!

Nom : Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie

Statut : Etablissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle conjointe des ministères en charge de l'Ecologie , du Développement et de l'Aménagement durables et de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Missions : 4 activités pour réussir....

Connaître : L'ADEME assure l'animation et participe au financement de la recherche et de l'innovation. Elle participe également à la constitution et à l'animation de systèmes d'observation pour mieux connaître l'évolution des filières.

Convaincre et mobiliser : L'information et la sensibilisation des publics sont des conditions essentielles de réussite des politiques en matière d'environnement. Dans ce cadre, l'ADEME met en oeuvre, avec des partenaires pour démultiplier les effets, des campagnes de communication de grande ampleur pour faire évoluer les mentalités, les comportements et les actes d'achats et d'investissement.

Conseiller : L'ADEME assure un rôle de conseil pour orienter les choix des acteurs socio-économiques. La diffusion directe par des relais de conseils de qualité est une composante majeure de la mise à disposition de l'expertise de l'Agence (aide aux maîtres d'ouvrage, soutien aux relais et réseaux d'acteurs pour démultiplier l'offre de conseils). L'ADEME élabore également des outils et des méthodes adaptés aux attentes de ces acteurs.

Aider à réaliser : Pour les aides directes à la concrétisation des projets, l'ADEME déploie des types de soutien financier gradués. Elle favorise également la mise en œuvre de références régionales et nationales.

Domaines d'intervention : énergie ; air et bruit ; déchets et sols ; management environnemental (sites et produits)

Effectif : 820 salariés (dont 359 ingénieurs)

Organisation : 3 sites pour les services centraux à Angers (49), Paris (75) et Valbonne (06), 26 délégations régionales, 3 représentations dans les territoires d'outre-mer et 1 bureau de représentation à Bruxelles.

Budget 2007 : 343 M€ (260 millions pour le budget d'intervention et 83 millions pour le budget de fonctionnement)